L’équipe du MEN aborde la question des rapports entre jeunesse, contestation et consommation. Elle interroge le discours d’insécurité qui prévaut actuellement et formule l’hypothèse que, loin de provoquer le chaos, la rébellion récurrente des plus jeunes dynamise la société dans son ensemble. Elle souligne également l’importance des rites et des figures de la révolte non seulement sur le plan de la consommation culturelle, dont ils sont l’un des moteurs, mais également sur celui de l’intégration sociale.